Un riche
L’histoire
Fonction importante
Château de Bussolles a été construit au Moyen Âge en tant que partie d’une ligne de défense. Au fil des siècles, il a été rénové et modernisé pour répondre aux exigences de l’époque. Même ces dernières années, le château a été rénové et adapté à la modernité sans perdre son caractère original de château.
Depuis le Xe siècle…
Le Château historique de Bussolles, initialement construit au Xe siècle, était une fortification quadrangulaire, caractérisée par quatre créneaux massifs et une tour ronde. Le château a été reconstruit au XIIIe siècle, sur des fondations du Moyen Âge. Le château actuel a conservé certains éléments qui semblent remonter au XIVe siècle. En 1810, le château a été largement restauré. Il est situé dans la vallée de la Têche et est entouré de diverses fermes.
Propriété familiale…
Le 19 juin 1375, le noble Jean Albert, Prévôt de Gagère (administrateur), a mentionné pour la première fois le domaine de Bussolles, propriété du seigneur de La Palisse. À la fin du XIVe siècle, en 1393, la famille Obeilh a repris le titre noble du seigneur de Bussolles. La famille Obeilh a conservé la propriété jusqu’au milieu du XVIIe siècle. Par héritage, le château de Bussolles est arrivé en 1683 à Antoine Henri de Chavagnac. Les armoiries de la famille sont toujours présentes sur une fresque dans la Chapelle de Bussolles. Après sa mort le 28 juin 1706, le domaine a été divisé en trois parties, notamment à Jean-Baptiste des Gallois de La Tour (voir photo), plus tard député dont le fils célèbre a été impliqué dans la Révolution française. Après la mort de Charles-Jean-Baptiste des Gallois de La Tour, premier président du Parlement de Provence, le château est passé à Pierre de la Faige. En 1831, Bussolles est passé à Claynes Eugène, fils du maire de Lapalisse. Les descendants de la famille sont enterrés dans la Chapelle de Bussolles, juste au nord-est du château. Le château est resté dans cette famille jusqu’au milieu du XXe siècle.
Propriété familiale…
Le 19 juin 1375, le noble Jean Albert, Prévôt de Gagère (administrateur), a mentionné pour la première fois le domaine de Bussolles, propriété du seigneur de La Palisse. À la fin du XIVe siècle, en 1393, la famille Obeilh a repris le titre noble du seigneur de Bussolles. La famille Obeilh a conservé la propriété jusqu’au milieu du XVIIe siècle. Par héritage, le château de Bussolles est arrivé en 1683 à Antoine Henri de Chavagnac. Les armoiries de la famille sont toujours présentes sur une fresque dans la Chapelle de Bussolles. Après sa mort le 28 juin 1706, le domaine a été divisé en trois parties, notamment à Jean-Baptiste des Gallois de La Tour (voir photo), plus tard député dont le fils célèbre a été impliqué dans la Révolution française. Après la mort de Charles-Jean-Baptiste des Gallois de La Tour, premier président du Parlement de Provence, le château est passé à Pierre de la Faige. En 1831, Bussolles est passé à Claynes Eugène, fils du maire de Lapalisse. Les descendants de la famille sont enterrés dans la Chapelle de Bussolles, juste au nord-est du château. Le château est resté dans cette famille jusqu’au milieu du XXe siècle.
Après la mort de Charles-Jean-Baptiste des Gallois de La Tour, premier président du Parlement de Provence, le château est passé à Pierre de la Faige. En 1831, Bussolles est passé à Claynes Eugène, fils du maire de Lapalisse. Les descendants de la famille sont enterrés dans la Chapelle de Bussolles, juste au nord-est du château. Le château est resté dans cette famille jusqu’au milieu du XXe siècle.
Dévastateur…
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le 2 août 1944, le village de Neuvy-sur-Loire a été complètement détruit par des bombes larguées par erreur par les Alliés. Pendant ce bombardement, le fils et héritier (entre autres du château) Jacques Aubert de la Faige, âgé de 55 ans, est décédé avec sa femme. La même année, oom Théofylle De La Faige (1861-1944) est également décédé. Peu de temps après la fin de la Seconde Guerre mondiale, Emile De la Faige (1861-1945) est également décédé. La famille a vendu le château dans les années qui ont suivi.
Défense…
Le Château de Bussolles est l’un des 24 châteaux qui servaient à la défense de la vallée de la Besbre, à la frontière entre le Bourbonnais et la Bourgogne. Il est situé dans une oasis de calme, dans un paysage vallonné de forêts, de lacs et de prairies.
Caractéristiques de cette région sont les haies anglaises entourant les prairies. L’utilisation du granit rose, provenant d’une carrière locale, fait briller l’ensemble harmonieux de tours carrées et rondes au soleil. Une des tours contient un escalier en colimaçon en pierre de lave de Volvic : la cathédrale de Clermont-Ferrand a été construite avec le même type de pierre. Au fil des siècles, les chambres ont été modernisées et équipées de tout le confort.
Tout cela dans le respect des éléments historiques tels que les cheminées médiévales, l’ancienne sacristie avec lambris en bois à côté de l’ancienne chapelle voûtée, datant de la guerre de Cent Ans, qui a duré de 1337 à 1453. Vers 1810, le château a été largement restauré, comme en témoigne la poutre au-dessus de la fenêtre centrale du balcon. Une inscription y est apposée “Benoit 1805 Benard”.
Caractéristiques de cette région sont les haies anglaises entourant les prairies. L’utilisation du granit rose, provenant d’une carrière locale, fait briller l’ensemble harmonieux de tours carrées et rondes au soleil. Une des tours contient un escalier en colimaçon en pierre de lave de Volvic : la cathédrale de Clermont-Ferrand a été construite avec le même type de pierre. Au fil des siècles, les chambres ont été modernisées et équipées de tout le confort.
Tout cela dans le respect des éléments historiques tels que les cheminées médiévales, l’ancienne sacristie avec lambris en bois à côté de l’ancienne chapelle voûtée, datant de la guerre de Cent Ans, qui a duré de 1337 à 1453. Vers 1810, le château a été largement restauré, comme en témoigne la poutre au-dessus de la fenêtre centrale du balcon. Une inscription y est apposée “Benoit 1805 Benard”.
Une Histoire Particulière…
Le château est situé à environ 30 km. de la ville de Vichy, qui pendant la guerre était la capitale de la partie non occupée par les Allemands de la France, officiellement l’État français. À partir de fin 1942, Barrais-Bussolles a également été occupé par les Allemands.
Henriëtte Pichon, qui dirigeait avant la guerre avec son mari Henri une école privée chic pour filles au nord de Paris, a dû quitter l’école à l’approche des troupes allemandes. Elle a ensuite rouvert son école au Château de Bussolles, emmenant certains élèves avec elle.
Pendant les années de guerre, elle a caché un groupe d’enfants juifs et les a élevés dans la foi catholique, aidée par le personnel et les habitants des environs. Henriëtte Pichon est décédée en 1964 et a été honorée à titre posthume en 2010 par l’Autorité de la mémoire de l’Holocauste Yad Vashem du titre de ‘Juste parmi les Nations’, pour son aide aux enfants juifs.
(Source : ‘Une Juste à Bouffemont’ par Claude Dewaele – 2010)
Dans le livre en français intitulé Emmuré (‘enfermé en soi-même’) de Carole Bloch, Carole raconte la quête des tourments cachés de son père, qui pendant la Seconde Guerre mondiale était un enfant juif résidant dans notre château. Le livre donne un bon aperçu de ce que les enfants ont vécu ici pendant cette période. Demandez ce livre spécial lorsque vous êtes ici et que vous souhaitez le lire, il vous attend.